Pour le président Macky Sall, sa position d'hier reste celle d'aujourd'hui concernant la question du troisième mandat.
"Entre l'année passée et cette année-ci, il n'y a rien de nouveau sur la question. C'est pour cette raison que je dirais que rien n'a changé, je maintiens les propos que j'avais tenus l'année dernière. La deuxième chose c'est qu'on ne peut pas aller ensemble gagner et écarter les autres. Moi j'ai été élu, les gens ont porté leur confiance en moi. Et pourquoi certains se posent toujours cette question", a répondu le chef de l'État au journaliste Alassane Samba Diop sur la question.
En clair, le président promet de répondre à la question au moment opportun. Il appelle également ses proches de se garder de polémiquer sur la question.
"Quand arrivera l'heure, je répondrai et tout le monde saura. Cette polémique ne me poussera pas à parler. J'ai interdit à mes partisans de se prononcer sur la question. Je leur ai demandé de travailler, et non pas de nourrir des polémiques sur cette question. Quiconque transgresse ces règles, je considérerais qu'il ne travaille pas et je le libère tout simplement. Je ne suis pas engagé pour ceux qui agitent la question, même dans ma propre famille politique je n'accepterai pas qu'ils entretiennent un débat inutile..."
"Entre l'année passée et cette année-ci, il n'y a rien de nouveau sur la question. C'est pour cette raison que je dirais que rien n'a changé, je maintiens les propos que j'avais tenus l'année dernière. La deuxième chose c'est qu'on ne peut pas aller ensemble gagner et écarter les autres. Moi j'ai été élu, les gens ont porté leur confiance en moi. Et pourquoi certains se posent toujours cette question", a répondu le chef de l'État au journaliste Alassane Samba Diop sur la question.
En clair, le président promet de répondre à la question au moment opportun. Il appelle également ses proches de se garder de polémiquer sur la question.
"Quand arrivera l'heure, je répondrai et tout le monde saura. Cette polémique ne me poussera pas à parler. J'ai interdit à mes partisans de se prononcer sur la question. Je leur ai demandé de travailler, et non pas de nourrir des polémiques sur cette question. Quiconque transgresse ces règles, je considérerais qu'il ne travaille pas et je le libère tout simplement. Je ne suis pas engagé pour ceux qui agitent la question, même dans ma propre famille politique je n'accepterai pas qu'ils entretiennent un débat inutile..."
Autres articles
-
Thiès- opération de sécurisation Police- Gendarmerie: 70 individus interpellés, 42 voitures et 50 motos immobilisées
-
Violences sur les campus: L’URV condamne et rejette toute proposition visant à supprimer les bourses universitaires...
-
Abdou Karim Sall alerte sur l’urgence sanitaire à Mbao et dans la zone d’Orkadiéré
-
Dette publique : Le Sénégal s'achemine vers une restructuration
-
Crise universitaire : l’APR dénonce une « répression », exige le paiement des bourses et exprime son soutien aux Étudiants,




